Comme nous l’avons vu dans l’article précédent, Jésus a réellement affirmé qu’il était Dieu. Cela est cependant beaucoup plus facile à dire qu’à faire. Voici certaines preuves que Jésus nous a données pour prouver qu’il était Dieu.
Premièrement, on ne peut pas lire les Évangiles sans y trouver de nombreux miracles. Les miracles ont toujours été, et même encore aujourd’hui, des signes de l’action de Dieu. La question qui se pose donc est la suivante : Peut-on croire aux miracles des Évangiles? Ne pourraient-ils pas être seulement des légendes? Tout critique littéraire honnête sera d’accord avec le fait qu’habituellement les légendes prennent plusieurs années (voir des centaines) à se forger. Les prétendues allégations alors faites très longtemps après les faits enlèvent ainsi toute possibilité de riposte pour les contemporains des personnages qui pourraient les démentir. Le problème est que, pour le Nouveau Testament, certains des textes ont été écrits moins de 20 ans après la mort et résurrection de Jésus. Comme les témoins oculaires directs sont encore vivant et que les chrétiens de cette époque sont minoritaires et marginalisés, les autorités régnantes auraient facilement pu laisser des traces écrites de ces réfutations. Cependant, ce n’est pas la négation des miracles que l’on retrouve dans ces textes, mais plutôt une tentative d’attribuer ces miracles aux démons (Matthieu 12,24). On ne peut pas non plus accuser à la science rudimentaire de l’époque l’attestation de ces miracles, car a en lire les descriptions des Évangiles, même le scientifique moderne en resterait bouche-bée malgré toutes ses connaissances.
La résurrection de Jésus est sans doute la preuve par excellence. On pourrait lui prêter les mêmes arguments que le paragraphe précédent sur les miracles. De plus, la résurrection est le scénario le plus plausible qui explique les 4 principaux faits de la mort et résurrection de Jésus qui sont : la mise au tombeau de Jésus, la découverte du tombeau vide, les nombreuses apparitions post-mortem de Jésus et l’origine de la foi des Apôtres en la Résurrection.
Jésus a aussi fait plusieurs prophéties qui se sont réalisées. Quand je dis plusieurs, ce n’est pas parce que certaines ne se sont pas réalisées, mais que celles-ci sont pour des temps qui ne sont pas encore arrivés, donc elles ne sont pas encore vérifiables. Une de ses prophéties était la destruction du temple de Jérusalem et il avait même spécifié que cela arriverait avant la fin de cette génération (Matthieu 24, 2). Comme Jésus avait prédit, le temple fut complètement détruit par les romains, environ 35 ans après cette prédiction.
Plusieurs personnes répondent encore : « Tout cela est bien beau, mais tout cela s’est passé il y a tellement longtemps… Qu’y a-t-il pour nous comme signe aujourd’hui au 21 e siècle ? » Ce sera le sujet de mon prochain article.
Premièrement, on ne peut pas lire les Évangiles sans y trouver de nombreux miracles. Les miracles ont toujours été, et même encore aujourd’hui, des signes de l’action de Dieu. La question qui se pose donc est la suivante : Peut-on croire aux miracles des Évangiles? Ne pourraient-ils pas être seulement des légendes? Tout critique littéraire honnête sera d’accord avec le fait qu’habituellement les légendes prennent plusieurs années (voir des centaines) à se forger. Les prétendues allégations alors faites très longtemps après les faits enlèvent ainsi toute possibilité de riposte pour les contemporains des personnages qui pourraient les démentir. Le problème est que, pour le Nouveau Testament, certains des textes ont été écrits moins de 20 ans après la mort et résurrection de Jésus. Comme les témoins oculaires directs sont encore vivant et que les chrétiens de cette époque sont minoritaires et marginalisés, les autorités régnantes auraient facilement pu laisser des traces écrites de ces réfutations. Cependant, ce n’est pas la négation des miracles que l’on retrouve dans ces textes, mais plutôt une tentative d’attribuer ces miracles aux démons (Matthieu 12,24). On ne peut pas non plus accuser à la science rudimentaire de l’époque l’attestation de ces miracles, car a en lire les descriptions des Évangiles, même le scientifique moderne en resterait bouche-bée malgré toutes ses connaissances.
La résurrection de Jésus est sans doute la preuve par excellence. On pourrait lui prêter les mêmes arguments que le paragraphe précédent sur les miracles. De plus, la résurrection est le scénario le plus plausible qui explique les 4 principaux faits de la mort et résurrection de Jésus qui sont : la mise au tombeau de Jésus, la découverte du tombeau vide, les nombreuses apparitions post-mortem de Jésus et l’origine de la foi des Apôtres en la Résurrection.
Jésus a aussi fait plusieurs prophéties qui se sont réalisées. Quand je dis plusieurs, ce n’est pas parce que certaines ne se sont pas réalisées, mais que celles-ci sont pour des temps qui ne sont pas encore arrivés, donc elles ne sont pas encore vérifiables. Une de ses prophéties était la destruction du temple de Jérusalem et il avait même spécifié que cela arriverait avant la fin de cette génération (Matthieu 24, 2). Comme Jésus avait prédit, le temple fut complètement détruit par les romains, environ 35 ans après cette prédiction.
Plusieurs personnes répondent encore : « Tout cela est bien beau, mais tout cela s’est passé il y a tellement longtemps… Qu’y a-t-il pour nous comme signe aujourd’hui au 21 e siècle ? » Ce sera le sujet de mon prochain article.
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