Voici une belle vidéo qui présente bien ce qu’est l’Église Catholique. Elle est en anglais, mais il y a des sous-titres en français.
Quelle personne serait mieux placée pour répondre à cette question que Celui qui est ressuscité d’entre les morts? En demeurant fidèle à la Parole de Jésus, voici ce que l’Église nous enseigne sur ce qui nous arrive après la mort.
La mort
La mort est la séparation de l’âme et du corps. Au moment de la mort, notre corps mortel commence à se décomposer et à retourner poussière, tandis que notre âme immortelle retourne vers Dieu.
La poussière retourne à la terre dont elle était venue, et l'esprit remonte à Dieu qui l'a donné (Qo/Ec 12,7)
Le jugement particulier (Catéchisme de l'Église Catholique # 1022)
Chaque homme reçoit dans son âme immortelle sa rétribution éternelle dès sa mort en un jugement particulier qui réfère sa vie au Christ, soit à travers une purification, soit pour entrer immédiatement dans la béatitude du ciel, soit pour se damner immédiatement pour toujours.
Et comme les hommes ne meurent qu'une fois, après quoi il y a un jugement, (He 9:27)
Le Ciel (Catéchisme de l'Église Catholique # 1023)
Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, et qui sont parfaitement purifiées, vivent pour toujours avec le Christ. Ils sont pour toujours semblables à Dieu, parce qu’ils le voient " tel qu’il est " (1 Jn 3, 2), face à face (cf. 1 Co 13, 12 ; Ap 22, 4).
Mes bien-aimés, dès à présent nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n'a pas encore été manifesté. Nous savons que, lorsqu'il paraîtra, nous lui serons semblables, puisque nous le verrons tel qu'il est. (1 Jn 3,2)
Le Purgatoire (Catéchisme de l'Église Catholique # 1030)
Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaires pour entrer dans la joie du ciel. (1 Co 3, 15 ; 1 P 1, 7)
Celui dont l'oeuvre sera consumée en sera privé; lui-même sera sauvé, mais comme on l'est à travers le feu. (1 Co 3,15)
L’Enfer (Catéchisme de l'Église Catholique # 1033)
Nous ne pouvons pas être unis à Dieu à moins de choisir librement de l’aimer. Mais nous ne pouvons pas aimer Dieu si nous péchons gravement contre Lui, contre notre prochain ou contre nous mêmes: " Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un homicide ; or vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui " (1 Jn 3, 15). Notre Seigneur nous avertit que nous serons séparés de Lui si nous omettons de rencontrer les besoins graves des pauvres et des petits qui sont ses frères (cf. Mt 25, 31-46). Mourir en péché mortel sans s’en être repenti et sans accueillir l’amour miséricordieux de Dieu, signifie demeurer séparé de Lui pour toujours par notre propre choix libre. Et c’est cet état d’auto-exclusion définitive de la communion avec Dieu et avec les bienheureux qu’on désigne par le mot "enfer".
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche: ‹Allez-vous-en loin de moi, maudits, au feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. (Mt 25, 41)
Le Jugement dernier (Catéchisme de l'Église Catholique # 1038)
La résurrection de tous les morts, " des justes et des pécheurs " (Ac 24, 15), précédera le Jugement dernier. Ce sera " l’heure où ceux qui gisent dans la tombe en sortiront à l’appel de la voix du Fils de l’Homme ; ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, ceux qui auront fait le mal pour la damnation " (Jn 5, 28-29). Alors le Christ " viendra dans sa gloire, escorté de tous les anges (...). Devant lui seront rassemblés toutes les nations, et il séparera les gens les uns des autres, tout comme le berger sépare les brebis des boucs. Il placera les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche (...). Et ils s’en iront, ceux-ci à une peine éternelle, et les justes à la vie éternelle " (Mt 25, 31. 32. 46).
Devant lui seront rassemblées toutes les nations, et il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres. (Mt 25, 32)
Les nouveaux Cieux et la Terre nouvelle (Catéchisme de l'Église Catholique # 1042-1044)
À la fin des temps, le Royaume de Dieu arrivera à sa plénitude. Après le jugement universel, les justes régneront pour toujours avec le Christ, glorifiés en corps et en âme, et l’univers lui-même sera renouvelé : Alors l’Église sera " consommée dans la gloire céleste, lorsque, avec le genre humain, tout l’univers lui même, intimement uni avec l’homme et atteignant par lui sa destinée, trouvera dans le Christ sa définitive perfection ".
Cette rénovation mystérieuse, qui transformera l’humanité et le monde, la Sainte Écriture l’appelle " les cieux nouveaux et la terre nouvelle " (2 P 3, 13 ; cf. Ap 21, 1). Ce sera la réalisation définitive du dessein de Dieu de " ramener toutes choses sous un seul Chef, le Christ, les êtres célestes comme les terrestres " (Ep 1, 10).
Dans cet " univers nouveau " (Ap 21, 5), la Jérusalem céleste, Dieu aura sa demeure parmi les hommes. " Il essuiera toute larme de leurs yeux ; de mort, il n’y en aura plus ; de pleur, de cri et de peine, il n’y en aura plus, car l’ancien monde s’en est allé " (Ap 21, 4 ; cf. 21, 27).
Alors je vis un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre ont disparu et la mer n'est plus. Et la cité sainte, la Jérusalem nouvelle, je la vis qui descendait du ciel, d'auprès de Dieu, comme une épouse qui s'est parée pour son époux. Et j'entendis, venant du trône, une voix forte qui disait: Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il demeurera avec eux. Ils seront ses peuples et lui sera le Dieu qui est avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, La mort ne sera plus. Il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni souffrance, car le monde ancien a disparu (Ap 21, 1-4)
La mort
La mort est la séparation de l’âme et du corps. Au moment de la mort, notre corps mortel commence à se décomposer et à retourner poussière, tandis que notre âme immortelle retourne vers Dieu.
La poussière retourne à la terre dont elle était venue, et l'esprit remonte à Dieu qui l'a donné (Qo/Ec 12,7)
Le jugement particulier (Catéchisme de l'Église Catholique # 1022)
Chaque homme reçoit dans son âme immortelle sa rétribution éternelle dès sa mort en un jugement particulier qui réfère sa vie au Christ, soit à travers une purification, soit pour entrer immédiatement dans la béatitude du ciel, soit pour se damner immédiatement pour toujours.
Et comme les hommes ne meurent qu'une fois, après quoi il y a un jugement, (He 9:27)
Le Ciel (Catéchisme de l'Église Catholique # 1023)
Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, et qui sont parfaitement purifiées, vivent pour toujours avec le Christ. Ils sont pour toujours semblables à Dieu, parce qu’ils le voient " tel qu’il est " (1 Jn 3, 2), face à face (cf. 1 Co 13, 12 ; Ap 22, 4).
Mes bien-aimés, dès à présent nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n'a pas encore été manifesté. Nous savons que, lorsqu'il paraîtra, nous lui serons semblables, puisque nous le verrons tel qu'il est. (1 Jn 3,2)
Le Purgatoire (Catéchisme de l'Église Catholique # 1030)
Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaires pour entrer dans la joie du ciel. (1 Co 3, 15 ; 1 P 1, 7)
Celui dont l'oeuvre sera consumée en sera privé; lui-même sera sauvé, mais comme on l'est à travers le feu. (1 Co 3,15)
L’Enfer (Catéchisme de l'Église Catholique # 1033)
Nous ne pouvons pas être unis à Dieu à moins de choisir librement de l’aimer. Mais nous ne pouvons pas aimer Dieu si nous péchons gravement contre Lui, contre notre prochain ou contre nous mêmes: " Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un homicide ; or vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui " (1 Jn 3, 15). Notre Seigneur nous avertit que nous serons séparés de Lui si nous omettons de rencontrer les besoins graves des pauvres et des petits qui sont ses frères (cf. Mt 25, 31-46). Mourir en péché mortel sans s’en être repenti et sans accueillir l’amour miséricordieux de Dieu, signifie demeurer séparé de Lui pour toujours par notre propre choix libre. Et c’est cet état d’auto-exclusion définitive de la communion avec Dieu et avec les bienheureux qu’on désigne par le mot "enfer".
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche: ‹Allez-vous-en loin de moi, maudits, au feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. (Mt 25, 41)
Le Jugement dernier (Catéchisme de l'Église Catholique # 1038)
La résurrection de tous les morts, " des justes et des pécheurs " (Ac 24, 15), précédera le Jugement dernier. Ce sera " l’heure où ceux qui gisent dans la tombe en sortiront à l’appel de la voix du Fils de l’Homme ; ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, ceux qui auront fait le mal pour la damnation " (Jn 5, 28-29). Alors le Christ " viendra dans sa gloire, escorté de tous les anges (...). Devant lui seront rassemblés toutes les nations, et il séparera les gens les uns des autres, tout comme le berger sépare les brebis des boucs. Il placera les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche (...). Et ils s’en iront, ceux-ci à une peine éternelle, et les justes à la vie éternelle " (Mt 25, 31. 32. 46).
Devant lui seront rassemblées toutes les nations, et il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres. (Mt 25, 32)
Les nouveaux Cieux et la Terre nouvelle (Catéchisme de l'Église Catholique # 1042-1044)
À la fin des temps, le Royaume de Dieu arrivera à sa plénitude. Après le jugement universel, les justes régneront pour toujours avec le Christ, glorifiés en corps et en âme, et l’univers lui-même sera renouvelé : Alors l’Église sera " consommée dans la gloire céleste, lorsque, avec le genre humain, tout l’univers lui même, intimement uni avec l’homme et atteignant par lui sa destinée, trouvera dans le Christ sa définitive perfection ".
Cette rénovation mystérieuse, qui transformera l’humanité et le monde, la Sainte Écriture l’appelle " les cieux nouveaux et la terre nouvelle " (2 P 3, 13 ; cf. Ap 21, 1). Ce sera la réalisation définitive du dessein de Dieu de " ramener toutes choses sous un seul Chef, le Christ, les êtres célestes comme les terrestres " (Ep 1, 10).
Dans cet " univers nouveau " (Ap 21, 5), la Jérusalem céleste, Dieu aura sa demeure parmi les hommes. " Il essuiera toute larme de leurs yeux ; de mort, il n’y en aura plus ; de pleur, de cri et de peine, il n’y en aura plus, car l’ancien monde s’en est allé " (Ap 21, 4 ; cf. 21, 27).
Alors je vis un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre ont disparu et la mer n'est plus. Et la cité sainte, la Jérusalem nouvelle, je la vis qui descendait du ciel, d'auprès de Dieu, comme une épouse qui s'est parée pour son époux. Et j'entendis, venant du trône, une voix forte qui disait: Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il demeurera avec eux. Ils seront ses peuples et lui sera le Dieu qui est avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, La mort ne sera plus. Il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni souffrance, car le monde ancien a disparu (Ap 21, 1-4)
Dans les dernières années, plusieurs personnes ont adopté le naturalisme comme vision du monde. Dans une bonne partie des ces cas, c’est le progrès phénoménal des sciences qui a influencé cette décision. Évidemment, le naturalisme n’est pas compatible avec la foi chrétienne, car celle-ci doit aussi accepter les réalités surnaturelles. Je veux donc poser la question suivante : Est-ce que le progrès de la science prouve le naturalisme ?
Commençons par définir les deux visions du monde dont nous traiterons dans cet article :
Vision naturaliste : Le naturalisme affirme que rien n’existe en dehors de la nature.
Exemple de chose naturelle : Votre corps, les planètes, votre ordinateur
Vision chrétienne* : En plus des réalités naturelles, il existe aussi des réalités surnaturelles.
Exemple de chose surnaturelle : Dieu, la Trinité, la grâce
Revenons maintenant à notre question qui était : Est-ce que le progrès de la science prouve le naturalisme? Je vais vous exposer de façon résumée le raisonnement qui affirmerait que le progrès scientifique prouve le naturalisme, tel qu'on le retrouve dans plusieurs publications qui font la promotion de la philosophie naturaliste.
Prémisse #1 : La science s’est révélée être une source véritable et fiable d’information sur le monde naturel.
Conclusion : Le naturalisme est vrai
Premièrement, il n’est pas question ici de mettre en question la véracité de l’affirmation #1. Le fait que vous pouvez lire en ce moment cet article sur internet est la preuve que nous avons fait des avancés scientifiques considérables.
Si on regarde un peu le raisonnement que je vous ai décrit, vous remarquez surement que la conclusion n’est pas conséquente de sa prémisse et aussi que sa forme n’est pas complète puisqu’il semble manquer une prémisse. La prémisse qui n’est pas clairement exprimée et qui demeure souvent implicite est la suivante:
Prémisse #2 : La science est identique au naturalisme
Expliquons maintenant en quoi la prémisse #2 n’est pas recevable. Comme on peut le constater, une fois sous sa forme complète, tout le raisonnement consiste à prouver la véracité du naturalisme en s’appuyant sur les mérites de la science. C'est-à-dire qu’en prouvant que la science est vraie, cela prouverait aussi que le naturalisme est vrai. Cependant, il y a un problème à dire que la science et le naturalisme sont identiques. La science est une méthode d’investigation de la nature, tandis que le naturalisme est une philosophie qui affirme que la nature est tout ce qui existe. La question que doivent donc se poser ceux qui ont été séduits par cet argument est la suivante : Comment la science, qui étudie seulement les phénomènes naturels, vous a-t-elle mené à la conclusion que la nature est tout ce qui existe, alors qu'elle ne peut investiguer que ce qui se retrouve dans la nature? Si on prend par exemple l’athéisme, qui est une position courante chez les naturalistes modernes. Comment la science, qui étudie seulement les phénomènes naturels, vous a convaincu que Dieu n’existait pas, lui qui est un être surnaturel et donc hors du champ d’investigation de la science? À mon avis, c’est un peu comme si quelqu’un demandait à la science de la biologie si les ordinateurs existent. Il est tout à fait normal que la biologie ne nous enseigne rien sur les ordinateurs, puisqu’aucune composante d’un ordinateur n’est vivante et que les composantes électroniques des ordinateurs ne sont pas dans son champ d’investigation. Qui alors oserait conclure que les ordinateurs n’existent pas parce que la biologie n’en parle pas?
Voilà donc pourquoi cet argument qui confond science et naturalisme n’est pas valide et ne prouve pas le naturalisme. La question à savoir si le naturalisme est vrai et s’il existe quelque chose en dehors de la nature est une question d’ordre philosophique, auquel aucune méthode ou aucun instrument scientifique ne pourra répondre.
* Cette vision que je présente comme vision chrétienne pourrait aussi s’appliquer à d’autre religion comme le judaïsme et l’islam.
Lorsque j’étais enfant, j’avais remarqué un cadre dans le sous-sol de mes grands-parents dans lequel il y avait un document avec une photo du pape Pie XII. Il y a quelques mois, j’ai constaté que ce cadre était désormais chez mes parents. Il s’y est surement retrouvé parce qu’ils ont du déménager de leur domicile il y a quelques années pour aller dans un centre d’accueil pour personnes âgées. Lors d’une visite chez mes parents pendant le congé de Noël, je me suis allé examiner ce cadre de plus près et ils ont acceptés que je l’apporte chez moi.
J’ai fait quelques recherches sur internet, mais je ne trouve aucune mention de ce type de document. Je crois qu’il s’agit d’un document au sujet d'une indulgence appelée « in articulo mortis ». Tout ce que j’ai trouvé sur internet, c’est que cette indulgence dit environ ceci:
S’il n’y a pas de prêtre qui puisse administrer les sacrements et la bénédiction apostolique avec l’indulgence plénière, la sainte Église accorde au mourant, convenablement préparé, l’indulgence plénière à condition qu’il ait habituellement récité quelques prières pendant sa vie. En ce cas, cette condition supplée aux trois conditions habituellesVoici le texte et une photographie du document en question (cliquez sur l'image pour l'agrandir) :
Très Saint Père
Monsieur et Madame Joseph Morin
leurs enfants et petits-enfants, humblement prosternés aux pieds de Votre Sainteté implorent la Bénédiction Apostolique et l’Indulgence Plénière «in articulo mortis» lorsque repentant mais ne pouvant se confesser ni recevoir la Sainte Communion ils invoqueront de bouche ou au moins de cœur le Saint Nom de Jésus
Je me demande alors quel était le but de ce document qui ressemble à un certificat. Le nom de Joseph Morin, à qui il a été attribué, est le nom du père de mon grand-père. Les enfants et les petits-enfants en question dans le texte sont donc mon grand-père paternel (et frères et soeurs) et mon père(et frères et soeurs). Je me demandais, par curiosité, si cela pouvait s’appliquer aussi aux arrières petits-enfants? J’aimerais aussi savoir ce qu’est ce document ou si quelqu’un a déjà vu un document semblable.