L'adoration est un hommage dû à Dieu seulement. C'est même le tout premier commandement donné par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï. Donc logiquement, si Jésus est Dieu, on devrait trouver des traces de cette adoration dans le Nouveau Testament. Voici quelques uns de ces passages :
Matthieu 2, 11
Entrant alors dans le logis, ils virent l'enfant avec Marie sa mère, et, se prosternant, ils lui rendirent hommage ; puis, ouvrant leurs cassettes, ils lui offrirent en présents de l'or, de l'encens et de la myrrhe.
Matthieu 14, 33
Ceux qui étaient dans la barque se prosternèrent devant lui, en disant : "Vraiment, tu es Fils de Dieu!"
Jean 9, 38
Alors il déclara : "Je crois, Seigneur", et il se prosterna devant lui.
Hébreux 1, 3-6
Resplendissement de sa gloire, effigie de sa substance, ce Fils qui soutient l'univers par sa parole puissante, ayant accompli la purification des péchés, s'est assis à la droite de la Majesté dans les hauteurs, devenu d'autant supérieur aux anges que le nom qu'il a reçu en héritage est incomparable au leur. Auquel des anges, en effet, Dieu a-t-il jamais dit : Tu es mon Fils, moi, aujourd'hui, je t'ai engendré? Et encore : Je serai pour lui un père, et lui sera pour moi un fils. Et de nouveau, lorsqu'il introduit le Premier-né dans le monde, il dit : Que tous les anges de Dieu l'adorent.
Dans le dernier passage, même les anges de Dieu adorent le Fils sur ordre de Dieu lui-même. C'est le mot grec προσεκύνησαν ou προσεκύνησεν, qui peut être traduit par adorer ou prosterner dépendant des traductions, qui est utilisé dans tous ces passages. Le même mot que l'adoration réservé à Dieu dans l'Ancien Testament. Dans l'Ancien Testament, ce mot peut aussi être utilisé pour exprimer une simple révérence envers une autre personne, mais dans le Nouveau Testament, il semble davantage signifier l'adoration.
On peut aussi remarquer que jamais Jésus ne les réprimande de lui accordé cet honneur réservé à Dieu. Je donne cet exemple car Pierre, qui reçoit le même hommage de la part de Corneille dans le passage cité plus bas, s'empresse de lui demander de se relever car il n'est qu'un homme, chose que Jésus n'a jamais fait et qui insinue aussi que Jésus, qui ne refusait pas cet honneur, était plus qu'un homme.
Actes 10, 25-26 :
Au moment où Pierre entrait, Corneille vint à sa rencontre et, tombant à ses pieds, se prosterna. Mais Pierre le releva en disant : "Relève-toi. Je ne suis qu'un homme, moi aussi."
On peut donc aussi conclure par ces passages bibliques que Jésus-Christ a affirmer être Dieu en se laissant adorer comme étant Dieu et en plus, Dieu lui-même ordonne aux anges de l'adorer.
Matthieu 2, 11
Entrant alors dans le logis, ils virent l'enfant avec Marie sa mère, et, se prosternant, ils lui rendirent hommage ; puis, ouvrant leurs cassettes, ils lui offrirent en présents de l'or, de l'encens et de la myrrhe.
Matthieu 14, 33
Ceux qui étaient dans la barque se prosternèrent devant lui, en disant : "Vraiment, tu es Fils de Dieu!"
Jean 9, 38
Alors il déclara : "Je crois, Seigneur", et il se prosterna devant lui.
Hébreux 1, 3-6
Resplendissement de sa gloire, effigie de sa substance, ce Fils qui soutient l'univers par sa parole puissante, ayant accompli la purification des péchés, s'est assis à la droite de la Majesté dans les hauteurs, devenu d'autant supérieur aux anges que le nom qu'il a reçu en héritage est incomparable au leur. Auquel des anges, en effet, Dieu a-t-il jamais dit : Tu es mon Fils, moi, aujourd'hui, je t'ai engendré? Et encore : Je serai pour lui un père, et lui sera pour moi un fils. Et de nouveau, lorsqu'il introduit le Premier-né dans le monde, il dit : Que tous les anges de Dieu l'adorent.
Dans le dernier passage, même les anges de Dieu adorent le Fils sur ordre de Dieu lui-même. C'est le mot grec προσεκύνησαν ou προσεκύνησεν, qui peut être traduit par adorer ou prosterner dépendant des traductions, qui est utilisé dans tous ces passages. Le même mot que l'adoration réservé à Dieu dans l'Ancien Testament. Dans l'Ancien Testament, ce mot peut aussi être utilisé pour exprimer une simple révérence envers une autre personne, mais dans le Nouveau Testament, il semble davantage signifier l'adoration.
On peut aussi remarquer que jamais Jésus ne les réprimande de lui accordé cet honneur réservé à Dieu. Je donne cet exemple car Pierre, qui reçoit le même hommage de la part de Corneille dans le passage cité plus bas, s'empresse de lui demander de se relever car il n'est qu'un homme, chose que Jésus n'a jamais fait et qui insinue aussi que Jésus, qui ne refusait pas cet honneur, était plus qu'un homme.
Actes 10, 25-26 :
Au moment où Pierre entrait, Corneille vint à sa rencontre et, tombant à ses pieds, se prosterna. Mais Pierre le releva en disant : "Relève-toi. Je ne suis qu'un homme, moi aussi."
On peut donc aussi conclure par ces passages bibliques que Jésus-Christ a affirmer être Dieu en se laissant adorer comme étant Dieu et en plus, Dieu lui-même ordonne aux anges de l'adorer.