Les Évangiles et la Tradition nous apprennent que Jésus a été crucifié le Vendredi et est ressuscité le Dimanche suivant. Plusieurs crédos chrétiens, comme le symbole des Apôtres et de Nicée-Constantinople, affirment également que Jésus est ressuscité le 3e jour. Pour certaines personnes attentives au texte, cela peu, à première vue, paraître d'une certaine incohérence car la période passé par Jésus dans le tombeau ne semble que d'environ 40 heures, ce qui est à peine 1 jour et demi. Comment tout cela peut alors faire du sens ?

Le calcul qui totalise environ 40 heures est basé sur les Évangiles qui nous disent que Jésus est mort sur la croix la veille du sabbat à la 9e heure du jour. La 9e heure du jour hébraïque équivaut à 15h00 en heure moderne car la première heure de jour hébraïque correspond maintenant à 6h00 du matin. Comme le sabbat était le samedi dans l'Ancienne Alliance, cela nous donne vendredi 15h00 (Matthieu 27,46). La date de la découverte du tombeau est le premier jour de la semaine, donc dimanche, tôt le matin (Jean 20, 1). Cela est logique puisque le dernier jour (7e) était samedi le jour du sabbat.

Comment fait-on alors pour compter 3 jours avec environ 40 heures ? Il faut, comme souvent lorsqu'on lit la Bible, tenter de sortir un peu de notre tête d'occidental du 21ième siècles et tenter de penser comme un juif du 1er siècle. Les juifs pouvaient calculer une partie d'un jour comme un jour. Ce qui veut dire qu'une seule heure d'une journée peut être comptabilisé comme un jour. De plus, le début du jour, au lieu de commencer à minuit, était calculé à partir de la tombé de la nuit, ce qui donne environ 18h00. Ce qui donne 3 jours selon le schéma suivant :

Le site Benoît et moi tente de faire une « réinformation » pour rectifier toute la désinformation faite par différents médias sur le Saint-Père. Encore une fois, nous voyons que les médias ont subie les influences des lobby laïcistes qui tentent par là d'entrainer la population vers une perception négative de la religion pour leurs faire ensuite approuver leur vision de société sans Dieu.

Voici un lien vers un de ces articles :
http://benoit-et-moi.fr/2010-I/0455009cf20864101/0455009d460cde604.html 
Cet article propose des passages où l'on peut voir que, déjà au temps de la rédaction des textes du Nouveau Testament, une hiérarchie sacerdotale dans l'Église était présente. C'est de cette même hiérarchie ininterrompue, que sont issus les évêques, prêtres et les diacres de l'Église Catholique d'aujourd'hui. C'est ce que nous appelons la succession apostolique.

Actes 20, 28:
Prenez garde à vous-mêmes et à tout le troupeau sur lequel l'Esprit-Saint vous a établis évêques, pour paître l'Église de Dieu, qu'il s'est acquise par son propre sang.

1 Timothée 3, 1-5
Sûre (est) la parole: Si quelqu'un aspire à l'épiscopat, il désire une belle fonction. Aussi faut-il que l'évêque soit irréprochable, marié une seule fois, sobre, circonspect, honnête, hospitalier, apte à l'enseignement, point buveur, point querelleur, mais doux, pacifique, désintéressé, gouvernant bien sa propre maison, tenant ses enfants dans une soumission unie à une entière honnêteté, - car si quelqu'un ne sait pas gouverner sa propre maison, comment aurait-il soin de l'Église de Dieu?

Tite 1, 5-9
Je t'ai laissé en Crête afin que tu achèves de tout organiser, et que, selon les instructions que je t'ai données, tu établisses des Anciens dans chaque ville. Que le sujet soit d'une réputation intacte, mari d'une seule femme, dont les enfants soient fidèles, et ne passent point pour être débauchés ou insoumis. Car il faut que l'évêque soit irréprochable, en qualité d'administrateur de la maison de Dieu; qu'il ne soit ni arrogant, ni colère, ni adonné au vin, ni enclin à frapper, ni porté à un gain sordide; mais qu'il soit hospitalier, zélé pour le bien, circonspect, juste, saint, maître de ses passions, fermement attaché à la doctrine, qui lui a été enseignée, afin d'être en état d'exhorter selon la saine doctrine et de réfuter ceux qui la contredisent.

1 Pierre 2, 25
Car " vous étiez comme des brebis errantes ", mais maintenant vous êtes revenus à celui qui est le pasteur et l'évêque de vos âmes.

Actes 14, 23
Après leur avoir établi des Anciens dans chaque église par imposition des mains, après avoir prié et jeûné, ils les recommandèrent au Seigneur, en qui ils avaient cru.

2 Corinthien 3, 6
C'est lui également qui nous a rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie.

Philippiens 1, 1
Paul et Timothée, serviteurs du Christ Jésus, à tous les saints à Philippes, aux évêques et aux diacres:  grâce et paix de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ!

1 Timothée 3, 8-13
(Il faut que) les diacres pareillement (soient des hommes) honorables, point doubles dans leurs paroles, point adonnés au vin, point cupides, gardant le mystère de la foi dans une conscience pure. Qu'eux aussi soient éprouvés d'abord; ensuite, qu'ils remplissent le service de diacre, s'ils sont sans reproche. (Il faut que) les femmes pareillement (soient) honorables, point médisante, sobres, dignes de confiance en tout. Que les diacres n'aient été mariés qu'une fois; qu'ils gouvernent bien leurs enfants et leur propre maison. Car ceux qui remplissent bien le service de diacre s'acquièrent un beau rang et beaucoup d'assurance en la foi qui est dans le Christ Jésus.
Bien qu'il n'y ait pas d'âge pour entrer dans l'Église et devenir chrétien, l'Église Catholique a depuis longtemps la tradition de baptiser les enfants dès les premières semaines après la naissance. Cette pratique est quelques fois contestée par certains chrétiens, qui prétendent voir dans ce geste l'imposition de la Foi à une personne qui ne peut pas encore en manifester volontairement le désir.

Il ne faut pas oublier que c'est le rôle du sacrement de la Confirmation qui est de confirmer, à un âge plus avancé, de façon personnelle, la Foi de l'enfant qui a été baptisé par ses parents. Vous remarquerez que souvent, ces chrétiens qui protestent contre le baptême des enfants n'offrent pas le sacrement de la Confirmation et ont tendance à nier la réalité salvifique du baptême. Le but de cet article est de démontrer, à l'aide de passage biblique, que le baptême des enfants est une réalité sous-entendus dans la Bible.

Dans sa lettre aux Colossiens, on peut lire Saint-Paul comparer le baptême à la circoncision. Comme la circoncision était pratiquée le 8e jours après la naissance et signifiait l'entré dans l'alliance avec Dieu, je ne vois pas pourquoi le baptême, qui est l'entré dans l'Alliance avec le Christ, ne pourrait pas être donné aux enfants.
Colossiens 2, 11-12: En lui vous avez reçu une circoncision, non humaine, non chirurgicale, qui vous enlève tout ce corps charnel. C'est la circoncision du Christ, le baptême, où vous avez été ensevelis avec lui.

Dans les Actes et la lettre aux Corinthiens, on peut lire qu'à plusieurs reprises des maison complètes se font baptiser. Comme le mot « maison » désigne une famille ou même une réalité un peu plus large, il est tout à fait probable que des enfants en bas âge aient été baptisés.
Actes 16, 15 : Elle se fait baptiser avec toute sa maison, après quoi elle nous invite avec insistance: "Si vous croyez que j'ai bien la foi au Seigneur, venez donc et restez dans ma maison." Elle nous y obligea presque.
Actes 16, 32 :  Alors ils lui annoncent la parole du Seigneur comme à tous ceux de sa maison
1 Corinthiens 1, 16: Pardon! j'ai encore baptisé la famille de Stéphanas. A part ceux-là, je ne me rappelle aucun autre.

Dans certains passages, on peut voir la Foi d'un adulte sauver leur enfant. Donc, un enfant peut être baptisé (et sauvé) grâce à la Foi de ses parents en attendant qu'il puisse mieux comprendre sa démarche personnelle.
Matthieu 15, 28: Alors Jésus lui fait cette réponse: "Femme, ta foi est grande, que la chose se fasse comme tu le veux." Et dès ce moment-là sa fille fut guérie.

De plus, on ne pourrait pas prétendre ne pas contredire les paroles de Jésus lorsqu'il dit en Matthieu 19, 14 : «Laissez les enfants et ne les empêchez pas de venir près de moi. Sachez que le Royaume des Cieux est pour ceux qui leur ressemblent ». Ce qui les priveraient de l'entré dans l'Église et de l'Alliance avec Jésus.

Il y a aussi un autre point que je voudrais soulever dans cet article. J'ai entendu plusieurs fois autour de moi le raisonnement suivant : « Je ne fais pas baptiser mes enfants, ils décideront plus tard s'ils le désirent ou non ». Je trouve ce raisonnement un peu défectueux pour 2 raisons :
1) Nous inscrivons nos enfants à l'école même s'ils ne nous l'ont pas demandés. Nous le faisons quand même en croyant que l'instruction ainsi acquise leur sera profitable. En tant que parent, je ne vois pas pourquoi le même raisonnement ne serait pas applicable au baptême, si je le fait avec la conviction que cela lui apportera quelque chose de positif.
2) Certaines personnes voient le baptême comme quelque chose que l'on fait et qui est ensuite terminé. Cela n'est pas le cas car il est plutôt un point de départ dans la vie du Christ et de l'Église. Il n'est donc jamais trop tôt pour commencer et ils auront ensuite toutes leurs vies pour l'approfondir.
Le baptême est le tout premier sacrement que tout chrétien doit recevoir pour entrer dans la vie de Dieu et dans l'Église. Plusieurs passages de la Bible témoigne de sa réalité et de son importance. En voici quelques uns.

Matthieu 28, 19-20
Allez donc et faites-moi des disciples de toutes les nations. Vous les baptiserez au nom du Père et du Fils et de l'Esprit Saint, et vous leur enseignerez, pour qu'ils l'observent, tout ce que je vous ai ordonné. Voici que je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du temps.

Actes 2, 38
Pierre leur dit: "Repentez-vous et que chacun de vous se fasse baptiser au nom de Jésus, le Messie, pour obtenir le pardon de ses péchés. Alors vous recevrez le don de l'Esprit Saint.

Jean 3, 5
Jésus dit alors: "En vérité, en vérité, je te le dis: si l'on n'est pas né de l'eau et de l'Esprit, on ne peut pas entrer dans le Royaume de Dieu.

Actes 8, 12
Mais lorsque Philippe leur annonce le Royaume de Dieu et le pouvoir sauveur de Jésus, le Messie, ils le croient, et les hommes comme les femmes viennent se faire baptiser.

Actes 10, 47-48
Alors Pierre demande: "Peut-on refuser l'eau et ne pas baptiser ceux qui ont reçu l'Esprit Saint tout comme nous?" Et il ordonne de les baptiser au nom du Seigneur Jésus, le Christ. Après quoi on le prie de rester là quelques jours.

Romains 6, 3-5
Vous le savez, nous tous qui avons été baptisés dans le Christ Jésus, c'est dans sa mort que nous avons été plongés. Par ce baptême dans sa mort, nous avons été mis en terre avec lui, et de même que le Christ a été ressuscité d'entre les morts par la Gloire du Père, de même nous aussi nous commençons une vie nouvelle. C'était une image de sa mort quand nous avons été greffés sur lui, mais nous le suivrons aussi dans sa résurrection.

Galates 3, 26-27
Vous êtes fils de Dieu par la foi en Jésus Christ, et vous avez revêtu le Christ, vous tous qui avez été donnés au Christ par le baptême.

Colossiens 2, 11-12
En lui vous avez reçu une circoncision, non humaine, non chirurgicale, qui vous enlève tout ce corps charnel. C'est la circoncision du Christ, le baptême, où vous avez été ensevelis avec lui.

1 Pierre 3, 21
Vous reconnaissez là le baptême qui maintenant vous sauve. Ce n'est pas le nettoyage d'une impureté corporelle, c'est une façon de demander à Dieu qu'il nous renouvelle grâce à la résurrection de Jésus Christ.
La Congrégation pour le clergé a réalisé un beau petit film sur la prêtrise pour l'année sacerdotale. Il s'intitule « Alter Christus ». On peux y voir plusieurs témoignages ainsi que des discours des Papes Jean-Paul II et Benoit XVI.





La Bible, en particulier l'Ancien Testament, nous fait découvrir plusieurs attributs de Dieu : l'omniscience, l'omniprésence, l'omnipotence, l'éternité et l'immuabilité. Comme Jésus a affirmé être ce Dieu incarné, ces mêmes attributs devrait donc se retrouvées en sa personne. Je vais donc suggérer un passage biblique qui démontre chacun d'eux.

1) Omniscience (Dieu sait tout) :
En Jean 16, 30, voici ce que l'Apôtre Jean dit de Jésus : « Maintenant nous voyons que vous savez toutes choses, et que vous n'avez pas besoin que personne vous  interroge; c'est pourquoi nous croyons que vous êtes sorti de Dieu. »

2) Omniprésence (Dieu est présent en tout lieu) :
Matthieu 28, 19-20 : leur apprenant à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous toujours jusqu'à la fin du monde.

3) Omnipotence (Dieu est tout-puissant) :
Matthieu 28, 18 : Et Jésus s'approchant leur parla ainsi: " Toutes puissance m'a été donnée dans le ciel et sur la terre."

4) Éternité (Dieu est infini) :
Jean 1, 1 : Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.

5) Immuabilité (Dieu ne change pas) :
Hébreux 13, 8 : Jésus-Christ est le même hier et aujourd'hui; il le sera éternellement.

Certaines personnes objecterons certains autres passages de la Bible. Comme par exemple Jean 14, 28 , où Jésus dit : « car mon Père est plus grand que moi. » et d'autre, comme par exemple lorsqu'il ne peut faire de miracles lorsque les gens d'une région ne croient pas en lui. Ils tentent par là de dire qu'il n'est pas divin ou qu'il serait un dieu inférieur au Dieu Père. Une bonne partie de ces objections se résolves d'elle-même lorsqu'on les replaces dans le contexte. Néanmoins, il faut bien admettre qu'il y a certaines questions légitimes qui surgissent lorsqu'on se demande comment Jésus qui avait un corps pouvait être omniprésent (partout à la fois). C'est là tout le mystère de l'Incarnation dont plusieurs théologiens ont tenté de nous expliquer au cours de siècles.

Heureusement pour nous qui ne sommes pas tous de grand théologien, la Bible ne nous a pas laissé  sans réponse sur cette question. Une des plus belle réponse se trouvent dans Philippiens 2, 5-11 :
Ayez en vous les mêmes sentiments dont était animé le Christ Jésus: bien qu'il fût dans la condition de Dieu, il n'a pas retenu avidement son égalité avec Dieu; mais il s'est anéanti lui-même, en prenant la condition d'esclave, en se rendant semblable aux hommes, et reconnu pour homme par tout ce qui a paru de lui; il s'est abaissé lui-même, se faisant obéissant jusqu'à la mort, et à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et dans les enfers, et que toute langue confesse, à la gloire de Dieu le Père, que Jésus-Christ est Seigneur.
La première fois que j'ai décidé de lire la Bible, je m'y suis pris comme on le fait avec tous les autres livres qui est de commencer par le début et lire toutes les pages jusqu'à la fin. Ça fonctionne généralement bien avec les livres ordinaires, mais pour la Bible, cela n'est pas si facile.

Le problème est que l'on débute avec la Genèse et l'Exode qui sont des livres où l'histoire progresse rapidement, mais ensuite arrive le Lévitique remplis de descriptions rituelles et de règles et on perd vite le fil de l'histoire et souvent l'intérêt qui venait avec. De plus, certains livres racontent la même histoire sous des angles différents et on a l'impression de lire du déjà-lu.

Bien sûr, tous les livres de la Bible valent la peine d'être lu, mais pour un premier contact, j'ai autre chose à vous proposer. Je n'ai pas inventé cette méthode, mais j'en ai entendu parler à plusieurs reprises (quelques fois avec certaines variantes) et je voulais vous en donner les grandes lignes.

La méthode consiste à ne lire que certains livres où l'histoire progresse, en évitant ceux qui se répètes ou qui ne sont pas nécessaire pour comprendre l'Histoire du Salut. Voici le choix de livre le plus populaire pour suivre cette méthode :

Genèse
Exode
Nombres
Josué
Juges
1 Samuel
2 Samuel
1 Rois
2 Rois
Esdras
Néhémie
1 Maccabées (Pourquoi je ne trouve pas ce livre dans ma bible ?)
Luc
Actes

Comme vous pouvez le voir, vous ne lirez que 14 livres sur 73. Cependant, vous aurez un très bon aperçu de toute l'histoire. Si vous lisez environ 1 chapitre par jour, ce qui ne prends que quelques minutes, vous aurez lu toute l'histoire en environ un ans. Par la suite, je vous encourage à lire les autres livres. Comme vous aurez alors une bonne vue d'ensemble, vous serez plus en mesure de les apprécier.

Il faut profiter de la vie! On entends cela à la télévision. On le lit dans les journaux. On peut aussi l'entendre lorsque des gens discutent, surtout autour des thèmes de la maladie ou de la mort. Cette maxime peut nous mener à deux voies complètement différentes. Une de ces voie est chrétienne, l'autre ne l'est pas. Pour arriver à faire la différence entre les deux, il faut souvent pouvoir interagir avec l'interlocuteur pour lui faire exprimer plus clairement sa pensée, sinon la phrase demeure incomplète.

Dans un premier sens, cette maxime porte le message sous-entendus suivant : Il faut profiter de la vie, car il n'y a rien après la mort. Cette maxime à tendance fataliste et est issue du matérialisme qui nie la vie éternelle de l'âme après la mort. Une personne qui pense de la sorte ne pense souvent qu'à prendre tout ce qu'elle peut des autres ou de la société. La morale devient alors pour elle une règle gênante pour  la réalisation de ses désirs. Je n'ai pas besoin de vous dire que cette conception n'est pas du tout chrétienne.

Dans un deuxième sens, elle peut aussi porter le message suivant : Il faut profiter de la vie, car tout moment peut être potentiellement un temps pour amasser des trésors dans les cieux. Comme le temps ici-bas est limité, il est d'une grande valeur d'autant plus que nos choix auront des conséquences éternelles après la mort. Comment amasse-t-on des trésors dans les cieux? En imitant le Christ. Une personne qui pense de la sorte aura plutôt tendance à se donner aux autres et à la société. La morale devient alors ce qui va guider ses actions car c'est ce qui va départager les actes qui sont du Christ des actes mauvais. Nous sommes alors en pleine conception chrétienne.

Comme vous pouvez voir, les directions des deux dynamiques sont diamétralement opposées l'une et l'autre, mais peuvent provenir au départ de la même maxime. À vous maintenant de profiter de la vie! ... au sens chrétien du terme.