Il faut profiter de la vie! On entends cela à la télévision. On le lit dans les journaux. On peut aussi l'entendre lorsque des gens discutent, surtout autour des thèmes de la maladie ou de la mort. Cette maxime peut nous mener à deux voies complètement différentes. Une de ces voie est chrétienne, l'autre ne l'est pas. Pour arriver à faire la différence entre les deux, il faut souvent pouvoir interagir avec l'interlocuteur pour lui faire exprimer plus clairement sa pensée, sinon la phrase demeure incomplète.
Dans un premier sens, cette maxime porte le message sous-entendus suivant : Il faut profiter de la vie, car il n'y a rien après la mort. Cette maxime à tendance fataliste et est issue du matérialisme qui nie la vie éternelle de l'âme après la mort. Une personne qui pense de la sorte ne pense souvent qu'à prendre tout ce qu'elle peut des autres ou de la société. La morale devient alors pour elle une règle gênante pour la réalisation de ses désirs. Je n'ai pas besoin de vous dire que cette conception n'est pas du tout chrétienne.
Dans un deuxième sens, elle peut aussi porter le message suivant : Il faut profiter de la vie, car tout moment peut être potentiellement un temps pour amasser des trésors dans les cieux. Comme le temps ici-bas est limité, il est d'une grande valeur d'autant plus que nos choix auront des conséquences éternelles après la mort. Comment amasse-t-on des trésors dans les cieux? En imitant le Christ. Une personne qui pense de la sorte aura plutôt tendance à se donner aux autres et à la société. La morale devient alors ce qui va guider ses actions car c'est ce qui va départager les actes qui sont du Christ des actes mauvais. Nous sommes alors en pleine conception chrétienne.
Comme vous pouvez voir, les directions des deux dynamiques sont diamétralement opposées l'une et l'autre, mais peuvent provenir au départ de la même maxime. À vous maintenant de profiter de la vie! ... au sens chrétien du terme.
Dans un premier sens, cette maxime porte le message sous-entendus suivant : Il faut profiter de la vie, car il n'y a rien après la mort. Cette maxime à tendance fataliste et est issue du matérialisme qui nie la vie éternelle de l'âme après la mort. Une personne qui pense de la sorte ne pense souvent qu'à prendre tout ce qu'elle peut des autres ou de la société. La morale devient alors pour elle une règle gênante pour la réalisation de ses désirs. Je n'ai pas besoin de vous dire que cette conception n'est pas du tout chrétienne.
Dans un deuxième sens, elle peut aussi porter le message suivant : Il faut profiter de la vie, car tout moment peut être potentiellement un temps pour amasser des trésors dans les cieux. Comme le temps ici-bas est limité, il est d'une grande valeur d'autant plus que nos choix auront des conséquences éternelles après la mort. Comment amasse-t-on des trésors dans les cieux? En imitant le Christ. Une personne qui pense de la sorte aura plutôt tendance à se donner aux autres et à la société. La morale devient alors ce qui va guider ses actions car c'est ce qui va départager les actes qui sont du Christ des actes mauvais. Nous sommes alors en pleine conception chrétienne.
Comme vous pouvez voir, les directions des deux dynamiques sont diamétralement opposées l'une et l'autre, mais peuvent provenir au départ de la même maxime. À vous maintenant de profiter de la vie! ... au sens chrétien du terme.
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