Après avoir présenté dans l'article précédent un aperçu du cheminement de la Foi, j'aimerais poursuivre avec les mauvais réflexes qu'il faut éviter lorsqu'on tente de partager notre Foi.
La première chose à éviter sont la colère, l'insulte et couper la parole. Ça peut sembler simple à première vue, mais toute personne qui a déjà tenter de parler de la Foi à quelqu'un qui ne partage son avis a déjà connu des situations où le discours peut vite s'enflammer et dégénérer. La première chose à faire si on s'aperçoit que cela est entrain de se produire est de donner l'exemple en premier en gardant son calme. Cela peut être difficile, car la religion est généralement un sujet qui touche d'une manière particulière les personnes, surtout si elles ont une vie religieuse active.
Pour se faire, il faut se rappeler que la fin ultime de l'apologétique n'est pas de gagner une joute d'argumentation mais d'aider l'autre à progresser vers la vérité. Il est possible de rester ferme dans la Foi sans pour autant devenir arrogant ou agressif. Dans certaines occasions, même si on est certain d'avoir raison, il faut savoir quand interrompre la discussion si on voit que l'autre personne se sent mal à l'aise, triste ou semble devenir agressive. Car, « gagner » l'argumentation ne sert à rien si l'autre personne ne veut plus nous parler par la suite.
L'argumentation que l'on fait, si on utilise l'apologétique, doit toujours porter sur des enjeux théologiques et ne doit pas devenir des attaques personnelles. Il a quelques temps, j'ai eu sur ce blogue un bel exemple de débat théologique qui est resté charitable du début à la fin avec un musulman sur le thème du Consolateur. Vous pouvez le voir dans les commentaires de cet article :
La Trinité dans l'Ancien Testament : la Création
La première chose à éviter sont la colère, l'insulte et couper la parole. Ça peut sembler simple à première vue, mais toute personne qui a déjà tenter de parler de la Foi à quelqu'un qui ne partage son avis a déjà connu des situations où le discours peut vite s'enflammer et dégénérer. La première chose à faire si on s'aperçoit que cela est entrain de se produire est de donner l'exemple en premier en gardant son calme. Cela peut être difficile, car la religion est généralement un sujet qui touche d'une manière particulière les personnes, surtout si elles ont une vie religieuse active.
Pour se faire, il faut se rappeler que la fin ultime de l'apologétique n'est pas de gagner une joute d'argumentation mais d'aider l'autre à progresser vers la vérité. Il est possible de rester ferme dans la Foi sans pour autant devenir arrogant ou agressif. Dans certaines occasions, même si on est certain d'avoir raison, il faut savoir quand interrompre la discussion si on voit que l'autre personne se sent mal à l'aise, triste ou semble devenir agressive. Car, « gagner » l'argumentation ne sert à rien si l'autre personne ne veut plus nous parler par la suite.
L'argumentation que l'on fait, si on utilise l'apologétique, doit toujours porter sur des enjeux théologiques et ne doit pas devenir des attaques personnelles. Il a quelques temps, j'ai eu sur ce blogue un bel exemple de débat théologique qui est resté charitable du début à la fin avec un musulman sur le thème du Consolateur. Vous pouvez le voir dans les commentaires de cet article :
La Trinité dans l'Ancien Testament : la Création
J'ai une certaine expérience avec l'apologétique. Une autre chose à se rappeler est que si on discute sur internet en public, on ne cherche pas nécessairement à convaincre la personne avec qui on a une conversation.
RépondreEffacerIl s'agit de profiter d'un dialogue pour mettre d'avance des faits et des arguments.
Lorsqu'on voit la discussion de cette perspective, il n'est pas "nécessaire" de "gagner". Il faut tout simplement présenter les les faits et la logique. Ils sont assez convaincants en eux-mêmes pour la personne qui est neutre.