Sens littéral :
C'est le sens signifié par les paroles de l'Écriture et découvert par l'exégèse qui suit les règles de la juste interprétation. "Tous les sens de la Sainte Écriture trouvent leur appui dans le sens littéral" (S. Thomas d'A., s. th. 1, 1, 10, ad 1).
On peut le diviser en trois catégories :
a) Un sens parabolique (interprétation à partir d'une parabole),
b) Un sens étiologique (lorsqu’un énoncé a été dit en fonction d’une condition particulière d’énonciation)
c) Un sens analogique (comparaison de divers passages analogues afin de corroborer leurs suggestions).
Il ne faut pas le confondre avec une interprétation littéraliste qui prend « aux mots » le texte. Ainsi donc, un lecteur qui lit l’expression « il pleuvait des clous » comprend que cela signifie qu’il avait plu beaucoup, mais que des clous ne tombaient pas réellement du ciel.
Sens spirituel:
Grâce à l'unité du dessein de Dieu, non seulement le texte de l'Écriture, mais aussi les réalités et les événements dont il parle peuvent être des signes. On peut aussi le diviser en trois catégories :
a) Sens allégorique (ce qu’on doit croire)
Nous pouvons acquérir une compréhension plus profonde des événements en reconnaissant leur signification dans le Christ ; ainsi, la traversée de la Mer Rouge est un signe de la victoire du Christ, et ainsi du Baptême.
b) Sens moral (ce qu’on doit faire)
Les événements rapportés dans l'Écriture peuvent nous conduire à un agir juste. Elles ont été écrites "pour notre instruction".
c) Sens anagogique (ce vers quoi on doit tendre)
Nous pouvons voir des réalités et des événements dans leur signification éternelle, nous conduisant (en grec : anagoge) vers notre Patrie. Ainsi, l'Église sur terre est signe de la Jérusalem céleste.
C'est le sens signifié par les paroles de l'Écriture et découvert par l'exégèse qui suit les règles de la juste interprétation. "Tous les sens de la Sainte Écriture trouvent leur appui dans le sens littéral" (S. Thomas d'A., s. th. 1, 1, 10, ad 1).
On peut le diviser en trois catégories :
a) Un sens parabolique (interprétation à partir d'une parabole),
b) Un sens étiologique (lorsqu’un énoncé a été dit en fonction d’une condition particulière d’énonciation)
c) Un sens analogique (comparaison de divers passages analogues afin de corroborer leurs suggestions).
Il ne faut pas le confondre avec une interprétation littéraliste qui prend « aux mots » le texte. Ainsi donc, un lecteur qui lit l’expression « il pleuvait des clous » comprend que cela signifie qu’il avait plu beaucoup, mais que des clous ne tombaient pas réellement du ciel.
Sens spirituel:
Grâce à l'unité du dessein de Dieu, non seulement le texte de l'Écriture, mais aussi les réalités et les événements dont il parle peuvent être des signes. On peut aussi le diviser en trois catégories :
a) Sens allégorique (ce qu’on doit croire)
Nous pouvons acquérir une compréhension plus profonde des événements en reconnaissant leur signification dans le Christ ; ainsi, la traversée de la Mer Rouge est un signe de la victoire du Christ, et ainsi du Baptême.
b) Sens moral (ce qu’on doit faire)
Les événements rapportés dans l'Écriture peuvent nous conduire à un agir juste. Elles ont été écrites "pour notre instruction".
c) Sens anagogique (ce vers quoi on doit tendre)
Nous pouvons voir des réalités et des événements dans leur signification éternelle, nous conduisant (en grec : anagoge) vers notre Patrie. Ainsi, l'Église sur terre est signe de la Jérusalem céleste.
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